Nos références
Notre cabinet est référencé comme l’un des leaders du marché dans le contentieux haut de gamme, particulièrement dans le domaine du droit pénal des affaires, du droit des affaires, dans celui des médias et de l’Entertainment ainsi que du droit de la presse.
DÉCIDEURS GUIDE ANNUAIRE – COMPLIANCE- FRAUDES-INVESTIGATIONS
2020
En matière de compliance, fraudes et investigations, le cabinet a été classé dans la catégorie « Excellent ».
TROPHEES DU DROIT Edition 2020
Notre cabinet a reçu « le Trophée d’argent » dans la catégorie droit pénal des affaires.
CLASSEMENT CHAMBERS EUROPE RANKINGS
2019
France, Règlement des Litiges : Droit pénal des affaires
Thierry MAREMBERT : Band 1
Selon nos sources, Thierry Marembert, du cabinet Kiejman & Marembert, est « brillamment intelligent et a des idées qui sortent des sentiers battus. Il maîtrise parfaitement les procédures de droit pénal des affaires, notamment en matière de corruption, de fraude fiscal, de délits d’initiés, et de blanchiment ».
https://chambers.com/profile/individual/253798?publicationTypeId=7
Georges KIEJMAN : Hommes d’état de grande envergure
Georges Kiejman, du cabinet Kiejman & Marembert, est considéré comme un « géant » du droit pénal des affaires en raison de sa longue expérience dans ce domaine. Il possède aussi une connaissance approfondie des litiges de droit civil.
https://chambers.com/profile/individual/254130?publicationTypeId=7
DECIDEURS GUIDE ANNUAIRE - CONTENTIEUX & ARBITRAGE
2019/2020
En matière de droit pénal des affaires, l’associé Thierry Marembert a été nommé dans la catégorie « Incontournable ».
En matière de contentieux financier, bancaire et haut de bilan, le cabinet a été nommé dans la catégorie « forte notoriété ».
GLOBAL AWARDS WINNER 2019
CORPORATE INTL
KIEJMAN & MAREMBERT
International White Collar Crime Law Firm of the year in France
LES ECHOS le 8 mars 2019
Classement Chambers 2019 : et les meilleurs avocats sont …
Délinquance en col blanc
« Dans cette catégorie particulière du contentieux des affaires, le guide de référence préfère aussi se concentrer sur des personnalités. Georges Kiejman (Kiejman & Marembert) reste la star incontestable tandis que les ténors du barreau Hervé Témime (Témime), Jean Veil (Veil Jourde), Jean-Yves Leborgne (Jean-Yves Leborgne), Thierry Marembert (Kiejman & Marembert) et Daniel Soulez-Larivière (Soulez Larivière & Associés) se partagent le band 1 ».
DECIDEURS GUIDE ANNUAIRE - CONTENTIEUX & ARBITRAGE
DROIT PENAL DES AFFAIRES
2018/2019
En matière de Droit pénal des affaires, le cabinet a été nommé dans la catégorie « Incontournable ».
DECIDEURS JURIDIQUES
« 50 avocats d’affaires parmi les meilleurs », décembre 2018
Le pénaliste associé de Georges Kiejman est un des 50 meilleurs avocats du barreau d'affaires édition 2018. Il fait partie de la famille des ténors.
https://www.magazine-decideurs.com/news/thierry-marembert-kiejman-marembert
CHAMBERS & PARTNERS Édition 2018
France, Dispute Resolution : White collar crime
Thierry MAREMBERT: Band 1
Georges KIEJMAN : Senior Statesmen
CHAMBERS & PARTNERS Édition 2017
France, Dispute Resolution : White collar crime
Georges KIEJMAN, Thierry MAREMBERT: Band 1
DECIDEURS STRATEGIE FINANCE DROIT
Année 2016
En matière de Contentieux et d’Arbitrage, le cabinet a été nommé dans la catégorie « Excellent ».
DECIDEURS STRATEGIE FINANCE DROIT
Année 2015
En matière de droit du Cinéma et droit de la Presse, le cabinet et ses deux associés ont été nommés dans la catégorie « Incontournable – groupe 1 ».
En matière de droit Audiovisuel, ils ont été nommés dans la catégorie « Excellent – groupe 1 ».
CHAMBERS & PARTNERS Edition 2015
France, Dispute Resolution : White collar crime
Georges KIEJMAN, Thierry MAREMBERT: Band 1
«Georges Kiejman reste une référence majeure dans le domaine du pénal des affaires .
La compétence de Thierry Marembert dans le domaine du pénal des affaires ainsi que sa manière de travailler sont reconnues par ses pairs ».
CHAMBERS & PARTNERS Edition 2014
France, Dispute Resolution : White collar crime
Georges KIEJMAN, Thierry MAREMBERT: Band 1
« Georges Kiejman est l'un des leaders du marché pour toutes les affaires de la criminalité en col blanc.
Thierry Marembert reste un leader du marché dans le domaine de la criminalité en col blanc ».
TROPHEES DU DROIT Edition 2014
Notre cabinet a reçu « le Trophée d’argent » dans la catégorie Médias et droit d’auteur.
CHAMBERS & PARTNERS Edition 2013
Georges KIEJMAN: Band 2 contentieux
Thierry MAREMBERT: Band 1 contentieux
« Litigator Georges Kiejman of Kiejman & Marembert remains a major name for criminal cases, and peers note his high-profile presence.
Thierry Marembert of Kiejman & Marembert has a great reputation both in France and further afield. He handles civil and criminal cases, covering white-collar crime, IP, media and international business law ».
DECIDEURS STRATEGIE FINANCE DROIT
Années 2013/2014
En matière de droit pénal des affaires, le cabinet et ses deux associés ont été classés dans la catégorie « Excellent – groupe 1 ».
En matière de droit du Cinéma et droit de la Presse, le cabinet et ses deux associés ont été nommés dans la catégorie « Incontournable – groupe 1 ».
En matière de droit Audiovisuel, ils ont été nommés dans la catégorie « Excellent – groupe 1 ».
THE LEGAL 500 Edition 2013/2014
LEGAL 500 recommande ce cabinet en droit pénal des affaires.
IAIR LEGAL AWARDS 2013 Milan
Notre cabinet a reçu le prix « Excellence in Legal Practice White Collar Crime France ».
THE LEGAL 500 Paris Edition 2012/2013
LEGAL 500 recommande le cabinet Kiejman et Marembert en résolution des litiges : « Kiejman & Marembert représente de grandes entreprises dans le cadre de litiges entre actionnaires, de contentieux financiers, environnementaux, de doit de la distribution ou en lien avec le secteur des médias. Georges Kiejman et Thierry Marembert sont des figures majeures du barreau de Paris ».
THE LEGAL 500 US Edition 2011
« Kiejman & Marembert est référencé en second niveau dans le domaine du droit pénal des affaires ».
LES ECHOS le 14 avril 2011
Avocats d'affaires : le classement 2011 de «Best Lawyers»
Notre cabinet est référencé dans la deuxième édition en France de la revue juridique américaine «Best Lawyers», qui répertorie les meilleurs praticiens du droit des affaires.
DECIDEURS STRATEGIE FINANCE DROIT numéro 100, Small is beautiful
« De la Culture à l’excellence » Edition 2006
« DSFD : Vous avez respectivement prêté serment en 1953 et 1994 avec chacun un parcours professionnel distinct. Quels facteurs ont été déterminants dans votre association ?
Georges Kiejman (GK) : Quand j’ai commencé, il n’y avait que 2.000 avocats à Paris et l’atmosphère était familiale. Un avocat devait traiter tous les types de dossiers, ce qui était une bonne expérience. Je suis devenu vraiment connu quand j’ai participé à une émission télévisée qui constituait en un duel entre deux avocats. On m’a opposé à René Floriot, l’avocat le plus célèbre de l’époque. J’ai aussi été l’avocat des Etats-Unis contre le chef d’un réseau terroriste. D’autre part, j’ai toujours été intéressé par l’art et la culture, ce qui m’a valu de solides amitiés et des dossiers. Par la suite, j’ai occupé plusieurs fonctions au gouvernement, avant de revenir à la profession d’avocat. Je me suis associé avec Thierry Marembert pour deux principales raisons : il a fait l’Ecole Normale Supérieure et donc il ne venait pas seulement d’une faculté de droit ; il avait aussi travaillé cinq ans dans un grand cabinet, Linklaters. Par ailleurs, nous avons tous les deux un goût très prononcé pour l’art, sans vouloir nous confiner à un ghetto culturel. Nous voulions montrer qu’une solide culture générale était efficace dans le monde des affaires.
Thierry Marembert (TM) : Je suis arrivé tardivement au barreau, après Normale Sup et Sciences Po et même un peu de politique. Je voulais exercer une profession ouverte sur le monde, ce qui m’a conduit à travailler pour un cabinet anglo-saxon, Linklaters, dont j’ai apprécié le niveau d’exigence intellectuelle, le travail en équipe et l’ambiance internationale. Au bout de quelques années, j’ai rejoint Georges Kiejman pour vivre ma passion : plaider. Nous nous sommes plu tout de suite et associés en 2000.
DSFD : Vous figurez parmi les cabinets incontournables en droit pénal des affaires. Quelles sont les valeurs et les convictions qui animent votre cabinet ?
G.K. : Nous ne sommes pas une énorme machine comme certains de nos confrères. Notre équipe de 10 membres est suffisante, car les profils sont variés et les dossiers ouverts à la réflexion de tous. Par ailleurs, nous n’acceptons un dossier que lorsque nous sommes convaincus de pouvoir lui apporter quelque chose de particulier et si nous sentons un vrai dialogue avec le client. Sans cette confiance réciproque, on ne peut pas bien travailler. Nous sommes unis et solidaires, nous avons le goût d’être dans la vie moderne. Bref, nous essayons de faire de la haute couture judiciaire.
T.M. : C’est le goût de l’excellence qui nous réunit. Nous ne ferions pas ce métier si ce n’était pas pour traiter de beaux dossiers et pour les gagner. Le plaisir de ce métier, c’est le défi, le challenge, l’envie de soulever des montagnes, d’essayer du moins. L’excellence se traduit par une rigueur absolue dans le travail d’analyse et d’écriture et par la volonté d’avoir des liens à l’étrangers afin de pouvoir traiter efficacement des dossiers transnationaux (délits d’initiés, blanchiment ou même réassurance), dans lesquels il faut à la fois penser franco-français pour se faire comprendre de nos juges et penser dans la langue et la culture de nos clients et confrères européens ou américains. Nous partageons également la conviction forte que la culture générale est fondamentale dans le contentieux : la justice n’est pas un simple cours de droit mais une recherche du juste par des hommes de chair et de sang. Il faut tenir compte de la psychologie, de la compréhension du dossier par les juges, de leur horizon culturel. Recherche de l’excellence, ouverture d’esprit, psychologie, ce sont là les éléments déterminants selon nous. C’est aussi cela qui explique que nous jouissons, du moins le croyons-nous, de l’estime de nos confrères et de nombreux magistrats, bien au-delà de l’image médiatique, souvent déformée, qui peut être celle du cabinet.
DSFD : Quel est votre sentiment sur la dépénalisation de la vie des affaires ?
G.K. : Il est souhaitable que la justice pénale se recentre sur les délits qui relèvent vraiment de la malhonnêteté au sens banal du terme. Mais quels que soient les contours de la matière pénale, il est important que le juge puisse comprendre pourquoi un chef d’entreprise a pu être amené à prendre une décision – là encore, il faut rendre simple, concret et humain ce qui est souvent compliqué et difficile à concevoir pour des gens extérieurs à l’entreprise. C’est la justification de notre travail ».







